Sunday, July 13, 2025

RIEN N'EST IMPOSSIBLE À COEUR VAILLANT N°00019/13-07/RDPF-KUMZSE/ADN-2025


MON APPEL CITOYEN, L'AVENIR DE NOTRE CHER PAYS "LE CAMEROUN" NOUS INTERPELLE TOUS/TES


La convocation du corps électoral n’est pas seulement le signal d’un nouveau scrutin, mais l’opportunité d’ouvrir un débat politique tourné vers l’avenir de notre nation. L’heure n’est plus aux querelles sur l’âge du Président, mais à des discussions courageuses sur notre autonomie économique, financière et monétaire, et sur la maîtrise de nos ressources stratégiques.


Pourquoi ne pas envisager la nationalisation partielle ou totale de nos entreprises clés comme les Boissons du Cameroun (SABC), la CAMRAIL, ou l’ENEO? Aujourd’hui, SABC, leader du marché, appartient majoritairement à des groupes étrangers, alors qu’elle génère des centaines de milliards de chiffre d’affaires chaque année aux bénéfices des actionnaires étrangers, qui prétendent nous aider alors que les dividendes, qu'ils reçoivent sont mille fois l'aide dite à la Coopération. La renationalisation d’ENEO est déjà en cours, preuve que le Cameroun peut reprendre la main sur ses secteurs vitaux.


Face à la mondialisation et à la concurrence, il est temps de repenser notre modèle économique pour garantir que les richesses créées profitent d’abord aux Camerounais.

J’en appelle les médias, les acteurs politiques et la société civile à engager un débat constructif, basé sur des faits, pour bâtir une économie souveraine, inclusive et durable.


Électeurs camerounais, êtes-vous prêts à défendre l’intérêt national et à exiger une gestion responsable de nos ressources?


Le futur du Cameroun commence aujourd’hui: Unis pour notre souveraineté, bâtissons ensemble la prospérité de demain! 🇨🇲


Ce que le Cameroun a gagné sous Paul Biya:

1. Réintroduction du multipartisme et de la démocratie électorale dans les années 1990, avec des élections pluralistes (même si contestées).

2. Maintien d’une stabilité politique et d’une paix relative dans un contexte régional souvent troublé.

3. Règlement pacifique du conflit du Bakassi avec le Nigéria, grâce à l’arbitrage international.

4. Croissance du PIB à long terme: le PIB du Cameroun est passé de 18,6 milliards de dollars en 1990 à 46,3 milliards en 2019, et la croissance a repris grâce à des programmes d’investissement public et des réformes macroéconomiques.

5. Développement d’infrastructures: construction d’écoles, universités, centres de santé, projets d’électrification rurale et urbaine, accès à l’eau potable.

6. Réformes économiques et ajustements structurels avec le FMI, permettant une certaine stabilité macroéconomique et l’annulation partielle de la dette.

7. Création d’une commission anti-corruption (même si les résultats restent mitigés).

8. Lutte contre Boko Haram et coopération régionale pour la sécurité.

9. Modernisation de certains secteurs (télécoms, routes, aéroports) et ouverture à l’investissement international.


Comparaison avec les pertes enregistrées et subies :

- Plusieurs entreprises publiques et banques ont effectivement disparu ou été privatisées, souvent à cause de la crise économique des années 80-90, de la mauvaise gestion et de la corruption.

- Le niveau de vie et certains avantages sociaux (bourses, gratuité de l’école, sécurité, cohésion sociale) ont reculé ou disparu, ce qui alimente la nostalgie d’une époque jugée plus prospère et plus juste.

- Malgré la croissance économique, la répartition des richesses reste inégale et le chômage des jeunes demeure élevé.

- Les progrès démocratiques sont réels mais restent limités par des contestations sur la transparence des élections et la liberté d’expression.


1. Banques disparues (CAMBANK, BIAO, SCB, Crédit Agricole, BCD):  

Vrai. Plusieurs banques publiques ont fait faillite ou ont été liquidées entre la fin des années 1980 et 1990, notamment la CAMBANK (1988), la BIAO (1990), la SCB (privatisée en 2011), Crédit Agricole et la BCD. Ces fermetures sont confirmées par des sources fiables.


2. *ONCPB (Office National du Cacao et du Café):*  

Vrai. L’ONCPB a été dissous dans les années 1990, après la libéralisation du secteur café-cacao, ce qui a entraîné la perte de la stabilisation des prix et du contrôle qualité.


3. CAMAIR (Cameroon Airlines):  

Vrai. La compagnie nationale CAMAIR a été liquidée pour mauvaise gestion, remplacée par Camair-Co en 2011.


4. SOFIBEL à Bélabo:  

Vrai. L’usine SOFIBEL à Bélabo existe bien, mais sa fermeture et son état actuel sont liés à la crise industrielle.


5. Disparition de certains avantages sociaux (écoles gratuites, bourses étudiantes, concours d’État avec prise en charge, etc.):  

Globalement vrai, surtout pour la gratuité et les bourses, qui étaient plus généreuses dans les années 1980. Beaucoup de ces avantages ont été réduits ou supprimés, notamment après les ajustements structurels des années 1990.


6. Privatisation ou vente d’entreprises publiques (CAMRAIL, SONEL, SNEC, SOCAPALM, etc.):  

Vrai. Plusieurs sociétés publiques ont été privatisées ou vendues à des groupes étrangers dans les années 1990-2000, souvent sous pression des bailleurs de fonds internationaux.


7. CELLUCAM (Cellulose du Cameroun):  

Vrai. CELLUCAM a connu de graves difficultés financières dans les années 1980, avec des projets abandonnés et une performance jugée très faible par la Banque mondiale. L’entreprise a effectivement cessé ses activités principales dans les années 1980-90.


8. ONAREF (Office National de Régénération des Forêts):  

Vrai. ONAREF a existé et a mené des projets forestiers dans les années 1980, mais a disparu lors des réformes du secteur forestier et de la réorganisation des institutions forestières.


9. CENADEFOR (Centre National de Développement Forestier):  

Vrai. CENADEFOR a été remplacé par d’autres structures (comme ANAFOR) dans les années 2000, après la réorganisation du secteur forestier.


10. INTELAR:  

Vrai. INTELAR, entreprise d’informatique, a cessé ses activités en 1990 et a été remplacée par HI-TECH COMPUTER.


11. SOTUC (Société de Transport Urbain du Cameroun):  

Vrai. SOTUC a été dissoute en 1987 après de graves difficultés financières, mettant fin au transport urbain public organisé à Douala et Yaoundé.


12. Gratuité de l’école publique, du lycée et de l’université:  

Partiellement vrai. L’enseignement primaire était gratuit et obligatoire dans les années 1960-70, mais cette gratuité a été suspendue dans les années 1970, puis réintroduite partiellement en 2000/2001 pour le primaire seulement. Les fournitures, livres et autres frais restent à la charge des parents, et la gratuité n’a jamais été totale pour le secondaire ou l’université.


13. Bourses étudiantes et avantages sociaux:  

Vrai pour le passé. Jusqu’au début des années 1990, l’État camerounais octroyait des bourses mensuelles aux étudiants, et facilitait leur mobilité à l’étranger. Ce système a été abandonné au début des années 1990 avec la crise économique et les réformes imposées par la Banque mondiale.


14. Concours administratifs avec formation, logement et affectation directe:  

Vrai auparavant. Les concours administratifs étaient plus nombreux et offraient une prise en charge complète (formation, logement, affectation garantie). Aujourd’hui, ces concours existent toujours mais sont plus sélectifs, moins nombreux, et l’État ne prend plus systématiquement en charge tous les admis.


15. Rappel de salaire pour les nouveaux fonctionnaires:  

Vrai pour le passé. Les nouveaux fonctionnaires touchaient effectivement un rappel de plusieurs mois de salaire après leur prise de fonction, mais cette pratique a été fortement réduite ou supprimée avec la crise budgétaire.


Résumé:  

La plupart des affirmations concernant la disparition ou la privatisation des banques, entreprises publiques et avantages sociaux sont exactes et documentées.

Beaucoup d’avantages sociaux et éducatifs (école gratuite, bourses, concours avec prise en charge) étaient bien réels dans les années 1960-80, mais ont été réduits ou supprimés à partir des années 1990 à cause de la crise économique et des réformes. La gratuité de l’enseignement reste partielle et limitée au primaire.


*Le Pouvoir vient et tient de Dieu et l'homme et la femme sont créés à l'image de Dieu et sont ceux et celles qui décident physiquement de l'attribution du Pouvoir en Démocratie à travers d'une élection et le vote aux urnes! 


La question fondamentale reste inélucidee à savoir : Comment est ce que le feu Président Papa Ahmadou B. Ahidjo, qui n'était pas aussi instruit que l'actuel Président Papa Paul Biya avec lui à ses côtés, a pu réussir là où lui a échoué ? 

Avis aux amateurs, qui pensent qu'il suffit de porter à la magistrature suprême un Professeur pour que le Cameroun émerge et prospère, s'est se tromper fondamentalement!*


Chers Compatriotes, Messieurs, Lesdames,


Ensemble, réveillons le Cameroun qui gagne!

Notre avenir, notre choix, notre Cameroun!

Le Cameroun d’abord, pour tous et par tous: unis, exigeons le changement, construisons notre avenir! 🇨🇲


Dr NDEMMANU Antoine De Padoue, Ph.D en Économie Sociale

Contact : (+237) 690 922 056 / 670 655 614.