Sunday, August 23, 2009

MY CALL TO ALL OF YOU!

August 22, 2009

Dear Compatriot, Dear Cameroonians!

I wish to take this opportunity to extend my sincere compliments to this wonderful initiative made possible by :

cameroon_politics@yahoogroups.com

in bringing Cameroonians from the Diaspora as well as from Cameroon to share their point of view and help make the necessary changes in Cameroon possible in 2011.

We need an excellent and charismatic leader, one who can make happen what happened in 1992. If only those leaders hadn’t been corrupt! To boot, they didn’t even have a program.

I consider this forum a vital method of communication, as it will bring to the fore the best program, projects for society and platform for the Presidential elections in 2011. I encourage all of you to bring to this forum what can be sustainable as goals for 2011 and not to use this platform to simply brand people as bad or corrupt.

This forum will help us to debate the issues and to choose one candidate to face and challenge BIYA in 2011. My proposal is for you to choose ten candidates representing the ten regions of Cameroon and to invite them to come to the AMERICAN UNIVERSITY in November 2009 in Washington DC, to individually present their programs to the members of the Diaspora present. This will allow us to choose the best of the best for this crucial next step; (a campaign bus to tour all regions of Cameroon explaining our platform through the use of CDs and DVDs, print and radio media as well as talk shows, etc.).

The advantage of this unique opportunity is to explore first-hand the realities facing Cameroon and the prospects for achieving the Millennium Development Goals beginning as early as 2010.

Cameroon has largely existed “under the radar” for most members of the international community even after achieving independence, although it remains of the most peaceful and prosperous countries in the region.

Cameroon is challenged by many of the same issues as its neighbors. Each and every day the population faces complex issues such as poverty, HIV/AIDS, poor infrastructure, unemployment, and corruption.

In September 2000, at the dawn of the 21st century, world leaders came together to establish a global commitment to achieving responsible, sustainable change. United Nations member states established the Millennium Development Goals, eight objectives including eradicating extreme poverty, improving maternal health, and fostering a global partnership for development, among others.

I believe if we focus our energy and attention to attaining these common goals we will have no problem in removing M. Biya and his friends from their entrenched positions of power in 2011.

I submit my abbreviated platform for Cameroonians entitled “Avant project de société Camerounaise, election présidentielle 2011” to include my Government list of Posts of Ministers. I ask you to read thoroughly and give us your comments, recommendations and suggestions. This will permit us to continue training the people to become the owner of this project.

I’ve been in Cameroon for more than two years to do the job that none of you has been willing or able to do and I need your support. I need to know from each of you individually what you are willing do to help us move forward with our campaign. We need to start this next phase of our campaign as soon as possible. I don’t think that Cameroonians from the Diaspora can only help those who really are committed to our country’s progress simply by denouncing the evil of this system. It’s much more effective to focus on a positive platform which will help our countrymen and women to manifest this actually to become their reality.

Please stop with this unproductive negative stance, and begin from a place of love and understanding of each other for the mutual benefit of our children, the future generations of our Fatherland.

It is a fact; everything has a beginning and an end. Yesterday it was the system of Ahidjo. Today it is the Biya system. Tomorrow it will be another system. Let us join forces and focus our efforts to put together a program which actually fits the current situation we find in our country. It is critical for us to make sure our citizens understand and support our platform for social change, otherwise it will not work. We don’t need to only modernize and develop our Country, but to teach to our children how this will work and what to do to make sure they are able to maintain and take care of it tomorrow, after we’re all long gone.

GOD BLESS ALL OF US! GOD BLESS OUR FAMILIES! GOD BLESS CAMEROON AND AFRICA! AMEN!

Dr. Antoine De Padoue NDEMMANU,

Chairman of RDPF – KUMZSE

Former Candidate of the Presidential election in October 12, 1997

P.O. Box 148 Dschang – Cameroon

Phone : (237) 94 70 68 52; 74 36 01 04

E-mail: rdpf_kumzse@hotmail.com

http://qnefertiti.blogspot.com

Sunday, August 2, 2009



RDPF
Volonte, Travail, Reussite

Dschang, le 29 Juillet 2009


À Son Excellence Monsieur Le Président
De la République du Cameroun
YAOUNDÉ
Objet : - Réflexion sur les priorités socio- politique et économique de
l’heure au Cameroun;
- Élection Présidentielle de 2011 – Perspectives
Excellence,
De nos jours les préoccupations de modification des constitutions par les gouvernants en Afrique en vue d’une prolongation de la longévité au pouvoir avec leur cortège de contestation, occupent le devant de la scène politique, ce qui finit par occulter les problèmes majeurs des populations que sont : Les détournements des deniers publics, la corruption, la vie chère, la pauvreté, l’immoralité, le tribalisme, le népotisme, etc., ce qui rend très difficile voire illisible la gestion de la chose publique et est de nature à compromettre tous les efforts de développement et des acquis de plus d’un demi-siècle de politique camerounaise (Unité Nationale, Patriotisme, etc.). Et Pourtant la limitation du mandat est naturellement limitée.
L’action de l’humanité tout entière devrait concourir à œuvre pour diminuer la pénibilité de la vie et procurer un mieux être des populations, et c’est pour ce combat que nous convergeons nos efforts au sein de notre parti.
Par ailleurs une ONG française vient d’ajouter à cette diversion en publiant une certaine liste des biens vous appartenant vrais ou faux, cela importe peu et ne mérite pas de détourner l’attention sur la lutte contre le détournement massif des deniers publics ainsi que la corruption qui ont fini par gangréner toute l’activité économique du pays.
L’âge que vous avez atteint ainsi que la grande expérience que vous avez accumulée tout au long de votre longue carrière politique devraient aider la nation toute entière à aspirer à un mieux être et fondent le gage de notre confiance. Il est de notre intérêt de faire tout ce qui est à notre pouvoir pour que l’institution présidentielle reste honorée et respectée par tout le peuple camerounais. Un peuple camerounais conquérant et dominant, un pays à succès et rassemblé après vous sera votre meilleur testament pour la postérité.
Notre ambition est donc d’hérité d’un pays gouvernable et prospère. C’est pour cela que nous tournons le dos à une opposition qui casse et qui dénigre voire qui cherche des raccourcis pour être une opposition constructive, qui garantie la paix sociale et le progrès social et économique de la nation.
Dans ce contexte nous prenons position pour un nombre de faits à savoir :
Sur le plan économique :
La position de liquidité immédiate du Trésor camerounais (916 milliards de FCFA au 31 mars 2009) et le niveau confortable des réserves internationales du Cameroun (1602 milliards de FCFA en fin mai 2009 en hausse de 115 milliards de janvier à mai, soit cinq(05) mois d’importations) contredisent formellement et radicalement toutes déclarations ou toutes justifications d’une mauvaise conjoncture économique au Cameroun suite à la crise financière et économique mondiale. Il faut dire que le Gouvernement n’a véritablement pas de problème de financement. Aussi pensons nous que le dernier prêt du FMI au Cameroun d’un montant soixante sept milliards de francs cfa (144,1 millions de Dollars US) n’est pas justifiable ; pire il vient de fait démentir les résultats mirobolants de sortie de crise annoncés aux Camerounais et au reste du monde par des trompettes. Autant des choses qui discréditent vos efforts et votre règne. Pour tout ce qui précède, nous marquons notre refus énergique ;
Cette complaisance financière manifestement inacceptable du point de vue de l’intégrité, de la transparence et de préservation du bien public, de lutte contre la corruption, les détournements de deniers publics, les malversations financières ne peuvent se justifier que par des prises d’intérêts particuliers et personnels de la part de certains intervenants, usagers dans les chaines décisionnelles du Gouvernement camerounais ;
Sur le plan social :
L’opération épervier pour autant salutaire connaît un frein dans son action et rend ainsi difficile la transparence avec laquelle les populations ont accueilli cette heureuse initiative, mais hélas le rapace divine non seulement il n’arrive même plus à attraper ses poussins, pire il n’a jamais inquiété des poules encore moins des cops, et ce au grand dame de tous ceux qui avaient cru à l’assainissement de la gestion des finances publiques ;
Les Camerounais restent avec leurs yeux éberlués devant vos proches qui les premiers foulent au pied tous vos efforts et qui comme par enchantement bénéficient toujours de votre confiance quand bien même les Camerounais preuves à l’appui, chantent tel un leitmotiv, leurs crimes économiques à longueur de journée ;
Sur le Plan politique :
On prend les mêmes et on recommence. Les Camerounais très déçus ne comprennent pas pourquoi des gens qui sont entendus à la DPJ, même si leur culpabilité n’est pas encore établie, sont nommés à des hautes fonctions de la République pour non seulement aggraver leurs délits, mais aussi pour se retrouver finalement en prison souillant de fait toute la nation Camerounaise ;
Nous constatons avec regret que certains nominations des bandits à Col blanc à des hautes fonctions sonnent comme la célébration officielle du culte de la corruption et de la dépravation des mœurs, toutes choses qui rendent très illisibles ; équivoques et même anachroniques votre politique des grandes ambitions et la lutte contre la corruption ;
Pour clarifier cette crise de bonne gouvernance de finances publiques, nous recommandons la réalisation urgente par la Chambre des Comptes de la Cour Suprême d’un audit spécifique de la situation de la trésorerie de l’Etat.
Vous comprenez excellence Monsieur Le Président de la République, que comme patriote mon soucis n’est pas de rendre difficile votre tâche à la tête de notre cher beau pays mais de tout faire pour éviter que l’institution présidentielle à la quelle nous aspirons soit fragilisée voire cassée.
Et plus proche de nous dans la Menoua, nous dénonçons le complot ourdi contre les héritiers légitimes mêlant jusqu’aux autorités administratives, municipales et universitaires, qui usent de leur fonction pour délester et braquer ses derniers de leurs biens et pour leurs auréoles. Et pour ce faire quelques problèmes sont d’acuités et nécessitent une dénonciation et manifestation de notre part, c’est ainsi que nous pouvons vous présenter les cas suivants :
La succession du feu Sa majesté Mathias DJOUMESSI, ex-Ministre d’État, chargé des Affaires Réservées et des Études, mort depuis le 01 Mai 1966 et qui n’a pas eu droit aux honneurs de la République pour avoir fait l’objet de trahison par l’un des ses plus proches collaborateurs, l’injustice donc ont été victime d’un complot contre ses orphelins ; comme de la désignation d’un nouveau héritier en 2005 en la personne de Mathias WAMBA DJOUMESSI, détenteur de deux actes de naissance (acte de naissance de 1966 dressée à Dschang et de père inconnu et celui de 1970 dressée à Kumba et ayant pour père :le feu Edmond DJOUMESSI) ; d’un acte administratif signé du Préfet de la Menoua (Mr ATEBA, ACP, 2002-2008), nous sollicitons que vous ordonner une enquête pour tirer au clair la situation de la Chefferie Foréké Dschang ;
Nous dénonçons la marginalisation de la faculté de Médecines à Dschang et sollicitons l’ application voire la mise en œuvre de la loi autorisant la création d’une faculté de médecine à l’Université de Dschang, ce qui nous amène à solliciter du Préfet de la Menoua une marche pacifique pour exiger la mise en application de cette disposition de loi sur la création dans les Universités d’État la faculté de Médecine – voir Copie de la Lettre au MINESUP ;
- La non application de la disposition de la loi de finance sur la présence effective dans les établissements publics d’une structure d’infirmerie conformément aux allocations budgétaires ;
- Comment comprendre que les populations se détournent des institutions judiciaires appelées à dire le droit au nom du peuple camerounais pour confier leur problème au medias, à une émission radio, qui fait office de tribunal populaire (Sky one Radio), n’est ce pas là la manifestation flagrante de la corruption qui gangrène notre société camerounaise ?;
- Le manque de confiance aux institutions et structures financières de l’État du Cameroun, des sommes d’argent sortent systématiquement du trésor public pour être placées voire gardées dans les structures financières et autres banques privées au mépris de la loi des finances et l’éthique administrative ;
- Qu’est devenue la loi sur l’enrichissement illicite ? Et à quoi sert dans ce concert la Chambre des Comptes ?
Quand le temporaire devient le définitif. Sous d’autres cieux le Cameroun en descendant de pays à revenu intermédiaire au pays pauvre très endettés aurait provoqué des troubles sociopolitiques et économiques. Les tristes évènements du février noir de 2008 semblent n’avoir pas été bien compris, et sa lecture édulcorée nous fait craindre le pire, car les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Et gérer la cité, c’est d’abord prévenir, anticiper. Comment s’étonner que « les apprentis sorciers » se servent de la misère des populations pour manipuler l’opinion publique ? Les solutions existent, il suffit d’impliquer les uns et les autres (partis politiques, sociétés civiles) sur les mots qui minent notre pays. Les hommes passent, le pays reste ; faisons ensemble des efforts aux fins de laisser un riche et sain héritage à nos enfants qui aujourd’hui, perdent chaque jour plus de repères, de confiance en soi et de la foi en leur avenir.
Autant dire, excellence Monsieur Le Président de la République, que toutes ces revendications légitimes sont de nature à compromettre le processus des échéances avenirs si rien n’est entrepris pour donner à chacun des sujets évoques ci-dessus une réponse adéquate.
La participation du RDPF – KUMZSE au processus de démocratisation au Cameroun aux élections présidentielles du 12 Octobre 1997 comme aux élections futures ne saurait se faire au détriment de notre unité nationale, mais plus à la construction définitive et pérenne de notre unité nationale et du devenir de tout notre peuple nation camerounais.
Dans l’espoir de vous avoir apporté à travers ces quelques lignes, des éléments nouveaux dans l’appui et le soutien au processus de démocratisation au Cameroun, je vous prie d’agréer, Excellence Monsieur Le Président de la République, l’expression de notre sincère et haute considération.
Dr. Antoine De Padoue NDEMMANU

Président National du R.D.P.F.- KUMZSE




RDPF
Volonte, Travail, Reussite

Dschang, le 29 Juillet 2009




À Son Excellence Monsieur Le Ministre
De l’Enseignement Supérieur
YAOUNDÉ
Objet : Lettre de Remerciements et suggestions pour un meilleur fonctionnement de la Faculté de Médecine de l’Université de Dschang.
Excellence,
Les militants de notre parti politique, le RDPF-KUMZSE viennent auprès de votre Excellence vous remercier pour avoir en son temps pris l’heureuse initiative de proposer aux membres de la représentation nationale la création à l’Université de Dschang d’une faculté de médecine pour la formation des médecins.
Force est de reconnaître qu’en son temps, la joie des Camerounais fut grande ; car on voyait dans les créations des facultés de médecine dans nos différentes Universités d’Etat, non seulement une action allant dans le sens de la politique des grandes ambitions de S.E M. Paul Biya à l’endroit des populations, mais aussi une mesure qui contribuait fortement au rayonnement et au positionnement comme creuset de formation des médecins de notre pays et des pays voisins.
Conséquemment au sein de notre parti politique, nous avons pris acte de cette mesure qui aurait pu être mise à l’actif de la politique prônée par le Président de la République si toutefois les autorités universitaires avaient du répondant. Cette énième action, comme il fallait s’y attendre, s’est soldée par la création au sein de l’université de Dschang, d’une faculté de "Médecine" qui forme tout sauf des Médecins.
En vous adressant notre présente correspondance, nous tenons à vous informer de ce que les déceptions et frustrations des populations de la Menoua sont à la hauteur des espoirs et joies que leur avait apporté la promesse de formation des médecins à la faculté de médecine de l’Université de Dschang.
Au vue de la politique des grandes ambitions prônée par Son Excellence Monsieur Le Président de la République et eu égard au climat socio-économique et politique qui prévaut au Cameroun depuis ce septennat, nous pensons que la dite promesse ne sera point renvoyée aux calendes grecques ; mais hélas que non.
Nous maîtrisons déjà le scénario classique d’exécution des projets tel qu’il se passe actuellement dans nos administrations publiques. Le schéma est simple et s’articule ainsi qu’il suit :
Etape 1 : On initie à grande pompe et sous les ovations des populations un projet très porteur ;
Etape 2 : On pose la première pierre toujours à très grande pompe ;
Etape 3 : On place à la tête du projet un responsable à l’emporte pièce, qui est prêt à tout faire, sauf conduire le projet miroité aux yeux de la population qui assiste impuissante au drame de son destin ;
Etape 4 : Les impôts des populations sont engouffrés dans cette gabegie de projet qui en réalité se transforme en un véritable scandale financier avec une gestion sans suivi ;
Etape 5 : On laisse faire, la situation pourrit et se dégrade, le scandale s’installe et un jour, quand les échéances électorales approchent, on se tourne vers le projet pour déplorer la catastrophe et mettre le responsable en prison pour 50, 80 voir 100 ans d’emprisonnement.
Pourquoi organiser une marche des populations de la ville de Dschang ?
C’est pour dénoncer ces pratiques de laisser faire gouvernementales, et pour inviter les uns et les autres à un retour sur cette terre de nos ancêtres qui n’a rien fait pour mériter tant de supplices. Nous devons noter au passage que le ou les responsables de l’Université de Dschang devaient soumettre sans délais à votre attention le plan d’action pour permettre de concrétiser cette heureuse initiative, qui a fait que l’Université de Dschang soit désormais dotée d’une faculté de médecine.
Dans la marche que nous organiserons bientôt, nous voulons bénéficier de votre adhésion Monsieur le Ministre, et de l’adhésion de tous les Camerounais pour que les choses s’améliorent dans notre pays ; car, nos populations n’ont rien fait pour mériter toutes ces tortures qui lui sont infligées par ses propres fils pourtant mis en place pour les servir. Certes vous avez personnellement veillé à la création de cette faculté de médecine de Dschang, mais qu’avez-vous fait pour empêcher sa clochardisation ?
Au vu de tout ce qui précède, nous refusons d’être des complices des démons de l’inertie et des pyromanes qui n’hésiteront pas à crier que l’Université de Dschang est sacrifiée au détriment d’une certaine structure privée concourante de la même région.
Nous voulons marcher pour que cesse la gestion catastrophique de la chose publique ; pour que cesse l’inertie des principaux acteurs de notre société et pour que s’installe enfin le règne de l’excellence, du respect de la chose publique et du travail bien fait afin que vivent les grandes ambitions pour le bien être de tous et de chacun.
Veuillez agréer, Excellence, l’expression de nos salutations distinguées.
Dr. Antoine De Padoue NDEMMANU

Président National du R.D.P.F.- KUMZSE



RDPF
Volonte, Travail, Reussite

Dschang, le 29 Juillet 2009

À Monsieur Le Sous-préfet de Dschang
Sous Préfecture de Dschang


Objet : Demande d’Autorisation d’une marche pacifique de soutien pour la formation des Médecins à la Faculté de Médecine de l’Université de Dschang
Monsieur,
Nous, membres et militants du RDPF-KUMZSE de Dschang(Menoua), venons par la présente auprès de votre bienveillance demander l’autorisation d’une marche pacifique dans la ville de Dschang pour soutenir la promesse faite en son temps par le MINESUP à l’Assemblée Nationale de donner des moyens humains et financiers à l’Université de Dschang pour former des médecins.
Au vue de l’importance dudit sujet, non seulement nous sommes très confiants que vous allez autoriser ladite marche ; mieux, vous allez vous joindre à nous pour attirer l’attention des autorités de tutelle aux fins de matérialiser ce rêve.
L’objet de ladite marche va bien au-delà des clivages politiques, car à but humanitaire, il constitue une réelle corroboration de la politique des grandes ambitions de S.E.M Paul Biya. Nul doute que l’histoire retiendra que c’est sous votre autorité, qu’ensemble nous avons lutté à fin que l’université de Dschang forme des médecins.
Dans l’attente d’une suite favorable, veuillez accepter, Monsieur le Sous-préfet, nos remerciements anticipés et nos salutations patriotiques.
Dr. Antoine De Padoue NDEMMANU

Président National du R.D.P.F.- KUMZSE